Chronique du temps présent-34-Bye bye Obama
Publié le 20 Janvier 2017
20 janvier 2017, jour de deuil.
Condoléances à tous les médias français sans aucune exception. Barack Hussein Obama s’en va. L’un des plus mauvais présidents des USA, le Hollande américain et vice versa, tire, à contre cœur, sa révérence.
Place à Donald Trump !
Même pas capable de faire élire sa pouliche Hillary! C’est dire !
Incompréhensible, inexplicable Obamania durant les huit années de son mandat.
Tragi-comique façon de psalmodier « Barack Obama, Barack Obama, Barack Obama », en boucle, sans fin. Comme une obsession, comme une (auto)-hypnose.
Comment les journalistes vont-ils survivre ?
Une fois pour toutes : non, il n’a pas été le « premier président noir américain ». C’est un métis, fils d’un kenyan noir et d’une américaine blanche du Kansas, d’origine irlandaise.
Pourquoi dénaturer les faits, de façon aussi grossière ?
Pour quelle raison, les tenants de la « diversité » enjolivent-ils, de leur point de vue, la réalité ?
Pourquoi mentir ? Pourquoi se mentir ?
Il laisse un bilan catastrophique et son activisme larmoyant des derniers jours est ridicule.
Il annonce qu’il pourrait s’exprimer à nouveau publiquement sur des sujets comme la discrimination, le droit de vote, la liberté de la presse ou l’immigration si « les valeurs fondamentales » de l’Amérique étaient en jeu.
Scandaleuse agitation du spectre de l’extrème-droite. On connaît cela chez nous.
Pathétique refus de comprendre que les USA poursuivront leur chemin sans lui.
Et déjà, certains commentateurs prêtent des ambitions à Michelle Obama. Il faudrait compter avec Chelsea Clinton, fille de… Qu’en sera-t-il dans quatre ans ?
Comme si la fonction de président des USA était héréditaire.
Bye bye Obama. A jamais.